Pommettes
Pommettes : affiner, adoucir et équilibrer le visage
Anatomie et différences entre visages masculins et féminins
Chez les visages masculins, les pommettes sont souvent plus plates ou plus latérales, parfois peu projetées, avec un creux marqué sous la pommette (la "vallée des larmes"). Cela donne un aspect plus anguleux ou plat au tiers moyen du visage.
Les visages féminins présentent en général des pommettes plus hautes, plus arrondies et plus médiales (plus proches du nez), ce qui apporte de la douceur, structure la partie centrale du visage, et attire la lumière de façon harmonieuse. Le tiers moyen paraît ainsi plus plein et plus jeune.
Il est important de rappeler que ces critères sont indicatifs et ne s’appliquent pas à toutes. La féminité est une construction personnelle, et certaines femmes ont naturellement des pommettes peu projetées, plates ou asymétriques. L’objectif de la chirurgie est donc d’accompagner votre propre vision de vous-même, et non de coller à un modèle unique.
Objectifs esthétiques
La chirurgie des pommettes dans une démarche de féminisation vise à :
• rétablir un volume harmonieux au niveau du tiers moyen du visage,
• créer des courbes douces et une projection naturelle,
• effacer un aspect creusé ou fatigué sous les yeux,
• affiner l’ovale du visage par effet optique,
• renforcer l’impression de jeunesse et de vitalité.
Elle peut être envisagée seule ou en complément d’autres gestes comme la rhinoplastie, la correction des tempes, de la mâchoire….
Techniques possibles
1. Lipofilling des pommettes (injection de graisse autologue)
C’est la méthode la plus douce et la plus naturelle.
• La graisse est prélevée sur une autre zone (ventre, cuisses), purifiée, puis injectée avec précision dans la zone des pommettes.
• Le volume obtenu est progressif, souple et parfaitement intégré au tissu sous-cutané.
• Résorption partielle naturelle (10–30 %), une seconde séance peut parfois être proposée.
2. Implants malaires
Moins fréquemment utilisés, ils peuvent être indiqués dans certains cas très spécifiques :
• En cas de pommettes très plates ou d’asymétrie marquée.
• L’implant est placé sous le muscle, au contact de l’os, pour un effet plus stable et durable.
• Nécessite une chirurgie un peu plus lourde et des suites plus longues avec un risque de rejet ou d’infection.
3. Produits de comblement (acide hyaluronique)
Option temporaire ou complémentaire :
• Indiqué pour un test ou un petit ajustement.
• Résultat immédiat, sans chirurgie.
• Durée moyenne de 12 à 18 mois.1. Lipofilling des pommettes (injection de graisse autologue)
C’est la méthode la plus douce et la plus naturelle.
• La graisse est prélevée sur une autre zone (ventre, cuisses), purifiée, puis injectée avec précision dans la zone des pommettes.
• Le volume obtenu est progressif, souple et parfaitement intégré au tissu sous-cutané.
• Résorption partielle naturelle (10–30 %), une seconde séance peut parfois être proposée.
2. Implants malaires
Moins fréquemment utilisés, ils peuvent être indiqués dans certains cas très spécifiques :
• En cas de pommettes très plates ou d’asymétrie marquée.
• L’implant est placé sous le muscle, au contact de l’os, pour un effet plus stable et durable.
• Nécessite une chirurgie un peu plus lourde et des suites plus longues avec un risque de rejet ou d’infection.
3. Produits de comblement (acide hyaluronique)
Option temporaire ou complémentaire :
• Indiqué pour un test ou un petit ajustement.
• Résultat immédiat, sans chirurgie.
• Durée moyenne de 12 à 18 mois.
Suites opératoires
• Œdème modéré durant 1 à 2 semaines, parfois de légères ecchymoses.
• Résultat initial visible rapidement, résultat final à 3 mois environ.
• Très peu de douleur, reprise des activités possible en quelques jours en cas de lipofilling.
• Si implants : suites un peu plus longues, avec prudence sur les appuis faciaux.
Risques et complications
• Asymétrie temporaire ou définitive (rares, souvent corrigibles).
• Résorption partielle ou inégale de la graisse.
• Infections ou rejet de l’implant ( en cas d’implant).
• Petites irrégularités ou indurations localisées.
